Sylvie Goulard, la présidente du Mouvement européen France, auteur de « Le Grand Turc et la République de Venise » (Fayard), explique pourquoi il serait peu judicieux de mettre le peuple français dans la situation d’opposer, seul, un refus au peuple turc après que celui-ci aura fait des années d’efforts pour répondre aux exigences des Européens.
* *
Turquie Européeenne (ndlr) : Il va de soi que nous ne partageons pas l’avis de Sylvie Goulard en ce qui concerne la vocation de la Turquie à intégrer ou (...)
Le Congrès devrait se réunir le 7 juillet à Versailles pour adopter la réforme des institutions.
Le calendrier de la réforme des institutions est fixé. Le projet de loi constitutionnelle sera présenté en Conseil des ministres le 16 ou le 23 avril. Le texte sera examiné à l’Assemblée à partir du 20 mai, au Sénat à compter de la mi-juin et soumis au Parlement réuni en Congrès à Versailles le 7 juillet.
Une majorité des trois cinquièmes des suffrages exprimés est nécessaire pour réviser la Constitution. (...)
It is true that the referendum is an ancient and well-established method of democracy (Refer to Traité européen : Congrès ou référendum ? par Gilles Devers, TE, jeudi 24 janvier 2008). Second, it is true that the treaties now going to the parliaments are basically what was named a European Constitution earlier. There is indeed some structural similarity between the question of a referendum or another mode of decision-making regarding this constitution, and the same question regarding Turkey’s (...)
Le secrétaire d’État aux Affaires européennes suggère de s’exonérer de l’actuelle règle constitutionnelle pour les nouvelles adhésions. C’est un sérieux pavé dans la mare que vient de lancer Jean-Pierre Jouyet. Intervenant mardi devant le comité de réflexion sur les institutions présidé par Édouard Balladur, le secrétaire d’État aux Affaires européennes a suggéré la suppression de l’article 88-5 de la Constitution obligeant de soumettre à référendum tout futur élargissement de l’Union européenne. Une (...)
Libération - 24/02/2007
Abdullah Gül, ministre des Affaires étrangères, entend garder le cap
Ankara envoyé spécial
Dans une interview à Libération, le ministre turc des Affaires étrangères Abdullah Gül critique la France, qui fait de l’adhésion de son pays à l’UE « un enjeu de petite politique intérieure ». Garder le cap et continuer la marche vers l’Union européenne. Malgré le « gel » en décembre dernier des négociations avec Bruxelles sur 8 des 35 chapitres de l’acquis communautaire après le refus (...)
Le 3 octobre 2005, le Conseil de l’Europe décidait l’ouverture des négociations avec la Turquie dans la perspective de son adhésion à l’Union Européenne. Dans les mois qui ont précédé cette décision, le monde politique français semble avoir réalisé soudainement que cette éventualité pouvait se réellement se produire et ceci alors qu’un grand nombre d’entre eux avaient auparavant soutenu bec et ongles cette adhésion.
Nous vous présentons ici l’analyse que fait de ce revirement Turquie Européenne à travers la (...)
Mercredi 28 septembre 2005 (Liberation.fr - 19:16)
Les députés européens ont exigé mercredi qu’Ankara reconnaisse, préalablement à son accession, le génocide arménien de 1915 et durci le ton sur Chypre. La réaction de l’UDF Marielle de Sarnez, défavorable à l’adhésion de la Turquie.
Bruxelles (UE) De notre correspondant
Le Parlement de Strasbourg a exigé aujourd’hui par 356 voix contre 181 et 125 abstentions, qu’Ankara reconnaisse, préalablement à son accession, le génocide arménien de 1915 et a ajourné, (...)
© Radikal, 30/08/2005 - Traduction Avrazya Article sur Avrazya
En fait, pourquoi faudrait-il choisir entre Chirac et Merkel ? En effet de ces deux politiciens conservateurs, l’un est allemand, l’autre français. L’un est une femme, l’autre un homme. L’un est un Président en fin de mandat, l’autre est un leader plutôt « frais » puisque probable chancelier allemand à la fin du mois prochain.
Le point de vue d’Ismet Berkan, rédacteur en chef du quotidien Radikal.
Mais il y a cependant un trait qui les (...)
RTL - 22/06/2005
Le président de la Commission européenne José Manuel Durao Barroso a réaffirmé aujourd’hui les engagements de l’Union européenne envers la Turquie. « Sur la Turquie, je veux rappeler que la décision du Conseil européen qui n’a pas été changée, est claire : nous débuterons les négociations d’adhésion le 3 octobre », a déclaré M. Barroso au cours d’une conférence de presse à Bruxelles.
Mais le président de l’exécutif communautaire a aussi appelé les décideurs à prendre en considération les (...)
Libération
Journaux et télévisions y voient tous un signe de mauvais augure. A la différence du sommet de décembre, où fut donné un feu orange à l’ouverture des négociations d’adhésion avec Ankara, le drapeau turc ne flottait pas cette fois devant le palais où se tenait le sommet européen. Certes, Bruxelles a mis les choses au point, rappelant que ni Premier ministre turc ni aucun leader de pays candidat n’était invité. Mais rien n’y fait. Cette absence des couleurs nationales nourrit les préoccupations (...)