Le Figaro 13/05/2005
Dans le rôle de chef de file du non, Philippe de Villiers arrive un point derrière Jean-Marie Le Pen (21% contre 22%), mais au sein de la droite parlementaire, Villiers devance largement le président du FN (26% contre 16%) en tant que leader du non.
Parti le premier en campagne pour le non au référendum sur la Constitution européenne, et contre l’entrée de la Turquie en Europe, le 12 septembre 2004, à La Baule (Loire-Atlantique), Philippe de Villiers recueille les fruits de la (...)
Le Figaro - 11/05/2005 - En italiques les commentaires ajoutés par Turquie Européenne
Le président et les membres du groupe de travail « le Oui pour le Non », les députés : Richard Mallie, Marc Bernier, Gabriel Biancheri, Jean-Marie Binetruy, Ghislain Bray, Roland Chassain, Charles Cova, Bernard Depierre, Jean-Jacques Descamps, Georges Fenech, Bruno Gilles, Maurice Giro, Claude Goasguen, François Grosdidier, Dominique Le Mener, Dominique Paille, Christian Philip, Michel Raison, Eric Raoult, (...)
Le Figaro - 11/05/2005
FAUX. Chez les partisans du oui, ceux qui sont hostiles à l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne sont formels : le traité rendra plus difficile l’entrée de la Turquie. Les souverainistes rétorquent que le traité soumis à référendum le 29 mai la facilitera. Si le texte est pris au pied de la lettre, aucune de ces positions n’est absolument exacte.
C’est le chapitre relatif aux « valeurs de l’Union » qui donne une première idée des nombreuses exigences que devra satisfaire (...)
Yahoo ! Actualités - Vendredi 22 avril 2005, 7h58
Chercheur au CERI (Centre d’Etudes et de Relations Internationales), directeur des cahiers CEMOTI et auteur aux éditions Eyrolles de « L’Europe avec ou sans la Turquie », Semih Vaner évoque le débat sur la Turquie. Il revient aussi sur la décision du gouvernement turc de réunir une commission mixte d’historiens sur le génocide arménien, tout en estimant que ce dossier n’est pas lié à l’entrée de la Turquie dans l’Europe.
Ces dernières semaines les (...)
L’arrogance a changé de camp. Jusqu’ici, elle était trop souvent le fait des partisans de la construction européenne : ils le paient cher dans cette campagne. Mais chacun voit qu’aujourd’hui les leaders du « non de gauche » ont cédé à la même pente, en y ajoutant une insigne mauvaise foi. Laissons de côté Laurent Fabius, qui mène une campagne discrète et se garde d’excès verbaux. Mais les autres ! Rarement on a vu circuler autant d’approximations, d’affabulations, de citations biaisées et d’interprétations (...)
Europeus.org - vendredi, 25 mars 2005
Le conseil national de l’UMP s’est réuni le 6 mars à Paris pour adopter, à plus de 90 % des voix, la motion sur la ratification du traité établissant une constitution pour l’Europe et pour réaffirmer l’opposition à l’adhésion de la Turquie en lui préférant la formule de partenariat privilégié. Cette formule magique au sujet des relations avec la Turquie est plaidée, depuis l’été, par les opposants à l’adhésion de la Turquie, à tel point qu’elle a fait l’objet d’une (...)
Le Monde
Le référendum sur la Constitution européenne aura lieu le dimanche 29 mai, a annoncé, vendredi 4 mars, l’Elysée dans un communiqué. Il reste moins de trois mois au chef de l’Etat et aux partisans du « oui » pour contenir l’essor du camp du « non », que les derniers sondages créditent d’environ 40 % des intentions de vote. Jacques Chirac avait annoncé, le 14 juillet, que les Français seraient consultés par référendum sur le traité constitutionnel européen, adopté par les 25 chefs d’Etat et de (...)
Le Monde
L’article 1er complète l’article 88-1 de la Constitution afin que la France puisse participer à l’Union européenne dans les conditions prévues par le traité établissant une Constitution pour l’Europe. Les articles 2 et 4 portent sur l’obligation de recourir à un référendum pour l’adhésion de nouveaux Etats à l’Union européenne, après celles de la Roumanie, de la Bulgarie et de la Croatie. Ils ont notamment été inscrits à la demande de Jacques Chirac pour prévenir les réticences de sa majorité à (...)
PARIS(AP)15/02/2005
L’ancien ministre socialiste Jack Lang a accusé mardi plusieurs responsables de droite de mélanger « à dessein » la question de l’adoption de la Constitution européenne et celle de l’adhésion de la Turquie.
« A la droite aussi de faire son travail de clarté, il y a certains dirigeants qui mélangent tout », a dénoncé Jack Lang sur LCI, avant de citer le président du Mouvement pour la France Philippe de Villiers, celui de l’UDF François Bayrou et « peut-être le président de l’UMP » (...)
Le Monde - 10/02/2005
Le voyage à Ankara, organisé par le président de l’Assemblée nationale, a provoqué une violente passe d’armes au bureau du groupe UMP, mardi 8 février. « Un référendum, ça se gagne en France, pas en Turquie... », a lancé M. Sarkozy. Explosif. Quand, à l’UMP, la question turque et la stratégie de démarquage de Nicolas Sarkozy vis-à-vis de Jacques Chirac se conjuguent, l’effet peut être détonant. C’est ce qui s’est produit, mardi 8 février, à l’Assemblée nationale. Médusés, les membres du (...)