Source : Le Figaro
Pour être plus forts à l’international, les conglomérats turcs ont compris qu’ils devaient aujourd’hui se séparer de certains segments et concentrer leurs activités sur deux ou trois sécteurs.
KOÇ, Sabanci, Dogus, Cukurova... Ces noms sont familiers sur les rives du Bosphore, mais peu d’étrangers en ont encore entendu parler. Une situation qui pourrait bien changer dans un futur proche. Loin des feux de l’actualité financière internationale, les grands groupes turcs, portés par une (...)
Le Monde - 11/08/2006
Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan avait convoqué pas moins de sept ministres, mardi 8 août, pour une réunion d’urgence consacrée à l’épineux dossier de la noisette. A l’issue de ce mini-sommet, qui a duré plus de deux heures, il a annoncé le rachat d’une partie de la surproduction de l’année. Insuffisant, selon le président de la Chambre d’agriculture de Giresun (Nord-Est), Özer Akbasli, pour qui cette mesure est « une déception de plus et promet encore plus de chaos ». (...)
La Libre Belgique - 02/08/2006
L’industrie textile turque a pénétré le marché européen. Un exemple : Söktas, qui produit des tissus pour les grandes marques, de Hugo Boss à Zara.
À Söke
En 1971, Muzaffer Kayhan ouvrait une petite société de textile, à Soke, non loin d’Izmir, en Turquie. Söktas se lançait modestement dans la fabrication de serviettes pour le marché italien.
Trente-cinq ans plus tard, le fils, Muharrem Kayhan, trône sur un petit empire de 1 400 employés. Le holding familial contrôle 73 pc (...)
La Libre Belgique - 01/08/2006
Zorlu et Vestel ne disent pas grand-chose au consommateur européen. Pourtant, Zorlu, l’homme, et Vestel, la société, produisent 26 pc des TV européennes.
À Manisa
Un grand « Z » orne l’entrée de l’usine Vestel, à Manisa, dans l’arrière pays de la côte turque égéenne. « Z » comme Ahmet Nazif Zorlu, un physique de play-boy à 62 ans, mais surtout, l’un des entrepreneurs les plus étonnants de Turquie.
Zorlu n’a pas été plus loin que l’école primaire. Il a fait ses classes dans une (...)
La Libre Belgique - 31/07/2006
A Izmir, sur la côte turque de la Mer Egée, des patrons tiennent tête à la concurrence des usines chinoises.
Leur secret ? Le sur mesure, livré rapidement.
La compétitivité vient aussi des bas salaires.
A Izmir
Sur la route des touristes de la Mer Egée - est l’une des régions les plus florissantes de l’économie turque. Le centre-ville est démodé, mais sa région, parsemée de zonings, produit 12% du PNB de l’ensemble du pays. Par son port, transitent 55% des containers (...)
Source : L’Echo Touristique
La fréquentation étrangère, en baisse depuis le début de l’année, a accusé un recul de 16,7 % au mois de mai. Les attentats de juin, à Istanbul et Manavgat, ne vont pas arranger la saison d’été.
Le nombre de visiteurs étrangers en Turquie est en baisse mois après mois depuis le début de l’année. De janvier à mai, le recul est de 10,5 % par rapport à la même période de 2005, avec 5,5 millions de visiteurs, selon l’Institut turc de la statistique. Pour le seul mois de mai, les (...)
Le Figaro
La livre turque a perdu près d’un quart de sa valeur en deux mois.
La Turquie cherche désespérément à enrayer la dégringolade de sa monnaie. Dernière tentative en date, la Banque centrale a annoncé dimanche, lors d’une réunion extraordinaire de son comité, qu’elle relevait de 2,25 points son taux directeur. Il s’agit de la deuxième mesure de ce type prise par l’institution monétaire en trois semaines. Le 7 juin, une première hausse de 1,75 % avait déjà été consentie. Cette intervention, qui (...)
© Traduction pour Turquie Européenne
© Radikal, le 22/05/2006
La hausse du cours des devises n’est pas un phénomène passager. La Turquie entre dans une phase difficile de l’économie globale. En 12 jours, au mois de mai dernier, 5 milliards de dollars sont sortis alors que le pays doit en absorber mensuellement 600 millions pour éponger son déficit courant. Trois années durant, les conditions idéales de l’économie globale n’ont pas permis aux dirigeants turcs de se focaliser sur autre chose que (...)
Source : PCInpact.com, le 22/06/2006
Dans le cadre de son projet World Ahead Program d’un milliard de dollars, qui vise à donner aux plus pauvres l’accès aux nouvelles technologies, Intel va aussi s’occuper de la Turquie. Le géant du microprocesseur prévoit d’y lancer un PC de bureau à 300 dollars tout rond, ainsi qu’un PC portable spécialement conçu et construit en Turquie.
Pau Otellini a annoncé hier en personne le lancement de PC de bureau à bas prix pour la Turquie, destinés aux utilisateurs les (...)
TE - Radikal
La Libre Belgique - 23/06/2006
Fragilisée par l’effet combiné des perturbations survenues depuis un mois sur les places boursières du monde entier et l’ampleur maintenue de son déficit courant, la Turquie connaît des difficultés à retrouver un régime de référence stable en matière monétaire. La Banque Centrale turque est passée à l’action en début de semaine dernière, renouvelant des politiques qui ne manquent pas de rappeler les mesures prises à la veille de la crise majeure de 2001. Mais le (...)
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