Le Monde - 06/02/2005
Le président de l’Assemblée nationale effectue, depuis le 3 février, une visite de trois jours en Turquie. Il est accompagné des quatre présidents de groupe parlementaire.
En l’espace de quelques jours, deux Français ont eu, cette semaine, les honneurs de la presse turque. Celle-ci a d’abord consacré ses titres au transfert de Nicolas Anelka, qui vient de signer pour trois ans au club de football de Fenerbahce. Elle a ensuite commenté l’arrivée, jeudi 3 février, du président (...)
AFP - 05/02/2005
La décision de la France d’organiser un référendum sur l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne a été vivement critiquée samedi à l’Université de Galatasaray lors de la venue de la délégation française conduite par le président de l’Assemblée nationale Jean-Louis Debré.
Au dernier jour de la visite en Turquie de M. Debré et des présidents des groupes, Bernard Accoyer (UMP), Jean-Marc Ayrault (PS), Alain Bocquet (PCF) et Hervé Morin (UDF), les responsables de cette université francophone (...)
Libération - 04/02/2005
« Le club des cinq », comme on les surnomme à l’Ambassade de France, a débarqué hier à Ankara, pour une visite intensive et médiatisée de 72 heures, avec la ferme intention d’« entendre et comprendre » cette Turquie qui frappe à la porte de l’UE. La température locale n’a certes pas facilité les choses, mais le président de l’Assemblée, Jean-Louis Debré, accompagné des quatre présidents de groupe, Bernard Accoyer (UMP), Jean-Marc Ayrault (PS), Alain Bocquet (PCF) et Hervé Morin (UDF), (...)
Info Turc avec Sansursuz.com 04/02/2005
http://www.info-turc.org/article100...
Le Premier Ministre Recep Tayip Erdogan, pendant sa rencontre avec le président de l’Assemblée Nationale française Jean-Louis Debré, a répondu que « les allégations de génocide des arméniens doivent être laissées aux historiens afin qu’ils fassent la lumière sur ce point d’histoire controversé. Si à ce sujet les historiens arméniens ont des requêtes, les historiens turcs en ont tout autant ».
La rencontre entre le Premier (...)
Le Monde - 27/01/2005
L’Assemblée a voté, jeudi 27 janvier, l’obligation de recourir à un référendum en vue d’autoriser l’adhésion des nouveaux Etats à l’UE. Cela ne s’appliquera qu’après l’adhésion de la Roumanie, de la Bulgarie et de la Croatie. L’adhésion de la Turquie, si les négociations aboutissent, serait donc soumise au référendum. Par ailleurs, l’amendement visant à accroître le contrôle parlementaire sur les textes européens a été rejeté. Il avait été retiré par M. Balladur, puis repris par le groupe (...)
AFP - 23/01/2005
Gilles de Robien, ministre UDF des Transports, a plaidé dimanche en faveur de la Turquie, appelant son parti à « ne pas claquer la porte au nez d’un candidat » à l’Union européenne.
Alors que François Bayrou, président de l’UDF, et la très grande majorité du parti sont contre l’adhésion d’Ankara à l’UE, M. de Robien a, au contraire, affirmé que « fermer la porte serait humilier » la Turquie, lors du congrès de l’UDF.
« La vocation de l’UDF n’est pas de dresser de nouveaux murs, mais de (...)
Le Figaro - 21/01/2005
Les tirs croisés chiraquiens ont atteint leur objectif : Nicolas Sarkozy est disposé à « calmer le jeu » avec l’Elysée sur la Turquie. Il l’a dit hier à Nanterre, en marge de la présentation de son projet pour les Hauts-de-Seine (lire ci-dessous). Le conseil national de l’UMP confirmera son opposition à la candidature d’Ankara le 6 mars, mais la question turque sera noyée dans une motion de « synthèse » en faveur du oui au référendum constitutionnel et d’une « Europe puissance », (...)
Le Figaro - 16/12/2004
Istanbul : de notre envoyé spécial
Ils sont frustrés et inquiets. Les intellectuels francophiles d’Istanbul suivent avec amertume la tournure prise par le débat français sur l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Dans cette ville où les élites se sont longtemps tournées vers Paris, l’heure est au dépit parmi les amoureux de la culture française. « On se sentait depuis toujours assez proche de la France, particulièrement à l’aise avec ses valeurs, et voilà que l’on entend (...)
On commence à parler en France de la candidature de la Turquie à l’intégration à l’Union Européenne. Il était temps, alors que j’en entends parler en Turquie depuis que j’ai commencé à comprendre quelques mots de turc, c’est à dire depuis dix-huit ans. Et les Turcs ne m’ont évidemment pas attendue pour s’intéresser à l’Europe. La première fois c’était par des amis de Pazariçi, un gecekondu d’Istanbul. Autant dire qu’il ne s’agit pas d’un sujet réservé à une quelconque élite occidentalisée. Il passionne les (...)
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