A basic explanation, just to determine what I’m talking about: Essentially the European Union is about sovereignty-sharing between sovereign nations -meaning collective sovereigns of states- in Europe. The implicated core values are freedom (stands for sovereign) and equality (for collective); the structural implications/requirements are known as rule of law and democratic system/procedures. About these values and structures a national consent (agreement, compromise) is required. (In (...)
Créée en 1974, la Délégation de la Commission européenne, véritable Ambassade de l’Europe à Ankara, suit aujourd’hui les négociations d’adhésion et constitue le relais politique privilégié de l’UE en Turquie.
Sa section des affaires politiques s’occupe principalement du dialogue politique entre les deux parties et surveille le respect du premier des critères de Copenhague : être une démocratie et un État de droit. Elle est ainsi en contact avec de nombreux acteurs : partis politiques, syndicats, (...)
Ingmar Karlsson, le Consul général de Suède à Istanbul est connu pour avoir œuvré au rapprochement de la Turquie avec l’Union européenne et à l’amélioration des relations turco-suédoises depuis qu’il a été nommé à cette charge en 2001. Selon lui, l’absence d’opposition constructive est le plus grand obstacle à la démocratisation en Turquie. Karlsson est fermement persuadé que si la Turquie parvient à réaliser les réformes exigées par l’UE, les oppositions à son intégration s’atténueront et qu’elle obtiendra (...)
L’UE rendra son rapport annuel d’évaluation de la candidature turque, le 5 novembre prochain. Ce rapport intervient 4 ans après que la Turquie ait obtenu l’ouverture de négociations d’adhésion et 3 ans après que celles-ci aient effectivement commencé.
Pourtant, alors même qu’un certain nombre d’éléments du rapport ont déjà été communiqués par Bruxelles au gouvernement turc et que de nombreux experts ont eu accès à sa première mouture, les conversations et commentaires vont bon train sur son contenu. Comme (...)
Il a été Premier ministre, puis ministre des Affaires étrangères, avant d’assumer la charge de président de la République turque au terme d’une élection mouvementée. C’est dire si ce quinquagénaire, proeuropéen tout en étant issu de la mouvance islamiste, connaît les arcanes politiques et diplomatiques.
Pour L’Express et France 24, il a accepté de répondre aux questions qui se posent au sujet de la Turquie, y compris les plus embarrassantes.
La Turquie est-elle vraiment à l’abri d’un nouveau complot ou (...)
Alors qu’en Turquie, les jeunes sont moins religieux que leurs parents, ils s’inquiètent aussi moins qu’eux d’une éventuelle menace que le religieux pourrait faire peser sur le sécularisme en Turquie, selon une étude de l’ONG ARI qui vient d’être rendue publique. Cette étude montre aussi que la confiance et l’intérêt que ces jeunes accordent à la politique reste faible.
Les leaders politiques turcs n’ont pas la confiance des 17-25 ans.
Bien qu’ils soient cinq sur dix à se déclarer « pieux », l’étude (...)
Saisissant l’occasion de la présence de Nicolas Sarkozy à Damas, la Syrie a provoqué, le 4 septembre dernier, la tenue d’un sommet quadripartite rassemblant, en outre, le Qatar, qui a parrainé, en mai dernier, l’accord de Doha mettant un terme à la dernière crise libanaise, et la Turquie, qui supervise les négociations indirectes, entre la Syrie et Israël.
Pour la Syrie, qui a encore pris le parti de la Russie dans le conflit géorgien, comme au bon vieux temps de la guerre froide, cet événement revêt (...)
Petit retour en arrière pour une interview d’Ali Kazancigil sur les contradictions et les difficultés des relations euro-turques.
Docteur en science politique, Ali Kazancigil a enseigné à l’Université technique du Moyen-Orient (ÖDTÜ) et fut le correspondant particulier du journal Le Monde à Ankara (1967 à 1972). Il a ensuite collaboré aux programmes de sciences sociales et humaines de l’UNESCO (1972-2002), en tant que Rédacteur en chef de la Revue internationale des sciences sociales. Directeur de la (...)
Pourquoi ont-ils tenté de couper la route vers l’adhésion ? Pourquoi ont-ils brandi la menace de coup d’état et rédigé des mémorandums au sein même de l’armée ? Avec quels appuis médiatiques ont-ils voulu renouveler le 28 février [1997 : mémorandum du Conseil de Sécurité Nationale adressé au gouvernement dirigé à l’époque par le parti islamiste de M. Erbakan, NdT] ? Pourquoi ont-ils ainsi tiré sur la corde raide et menacé la démocratie après les clashes de l’année dernière liées à l’élection présidentielle (...)
The government has been given a new lease on life, Turkey has a new national program mapping the EU-required reforms it aims to introduce, and opinion polls show that popular support for the EU project is rising.
Why then is the optimism so muted and so few people expressing faith in the government’s ability to push its program through?
Everywhere I go, I hear skeptical assessments of the Justice and Development Party’s (AK Party) willingness to introduce meaningful change. Work is of (...)
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