Courrier International - 21/02/2006
Depuis le 3 février 2006, le film turc Kurtlar Vadisi-Irak (La vallée des loups-Irak) bat tous les records d’affluence dans les salles obscures de Turquie. Doté du plus gros budget de l’histoire du cinéma turc, il dénonce la « collusion judéo-israélo-américaine », l’administration kurde d’Irak ou les exactions dans la prison d’Abou Ghraib avec une outrance digne d’un Rambo.
Série télévisée à succès ayant pour thème les relations troubles entre la mafia et les services (...)
© Radikal, le 23-01-2006
© Turquie Européenne pour la traductuion
Une interview d’Ergin Cinmen, pourquoi ?
Dans une société, nous avons toutes sortes de possibilités régler des problèmes. Mais la capacité de pouvoir résoudre ces problèmes ne tient qu’à une condition : « qu’un système juridique fiable soit établi. » Tant que le système juridique n’est ni fiable ni solide, les bases de la société s’effritent et rien ne tient en place comme il devrait le faire. La Turquie est aujourd’hui confrontée à l’un de (...)
Reuters - Vendredi 20 janvier 2006 - 20:07
ANKARA - Le Turc Mehmet Ali Agca, qui tira sur le pape Jean Paul II en mai 1981, a été réincarcéré envertu d’un arrêt de la Cour suprême de Turquie ayant invalidé sa remise en liberté.
Arrêté à son domicile à Istanbul, il a été conduit au poste de police où il devait attendre son transfert dans uneprison. « Je suis le messie », a-t-il lancé en turc, en italien et en anglais alors que des agents l’escortaient à l’intérieurdu bâtiment au milieu d’une foule de (...)
Le Monde - 18/01/2006
Partout dans le monde, Mehmet Ali Agça est connu comme l’homme qui a blessé le pape Jean-Paul II en 1981. Mais en Turquie, il est aussi celui qui avait assassiné deux ans plus tôt le journaliste Abdi Ipekci, « conscience » de la gauche dans ces années de quasi-guerre civile en Turquie. Pour cela, Agca est devenu, il y a un quart de siècle, un des héros des Loups gris - le mouvement ultranationaliste dont il faisait partie. Et sa sortie de prison, le 12 janvier à Istanbul, n’a (...)
Libération - lundi 14 novembre 2005
Après l’attentat du 1er novembre, le pouvoir ne cible plus le PKK.
Istanbul de notre correspondant Les autorités d’Ankara semblent désormais décidées à en finir avec ces réseaux de « l’Etat profond », comme les appellent les Turcs, où se mêlent « barbouzes » et mafieux. Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan a annoncé hier sa volonté de faire la lumière sur les attentats de Semdinli, bourgade limitrophe des frontières irakienne et iranienne, et à punir leurs (...)
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