« Vous avez peur des Musulmans et vous voulez faire entrer cent millions de Musulmans dans l’Europe ! ». C’est en ces termes que Nicolas Sarkozy a évoqué à New York cette semaine, la candidature turque à l’Union européenne.
Plusieurs indices montrent qu’il fera de son hostilité militante à l’adhésion de la Turquie, un cheval de bataille dans sa campagne électorale pour les présidentielles. Il multiplie les déclarations et discours à ce propos, aussi bien à Bruxelles que lors des diverses rencontres des (...)
Turquie Européenne - 01/10/2006
Euractiv.com - 26/09/2006
Constatant que l’on entend et lit un grand nombre d’approximations au sujet de ce rapport, Turquie Européenne le met à disposition de ses lecteurs. Il est déplorable que chacun, en fonction de ses intérets propres, en extraie les informations qui l’arrangent, or il convient d’en faire une lecture globale pour mettre en balance les points positifs et négatifs.
Ce rapport est idéniablement teinté de lobbying arménien et tente d’ajouter de (...)
France Inter - Les Chroniques - Géopolitique
Au premier regard, tout est simple. Durant la Première Guerre mondiale, au moment où s’effondrait l’empire ottoman, les Turcs ont exterminé quelques deux tiers des Arméniens de Turquie, un million deux cent mille personnes au bas mot, considérés à la fois comme alliés des Russes et comme une menace à l’homogénéité d’un pays autrefois multinational mais en train de se réduire à sa métropole turque.
Cette extermination, ce génocide, n’a pas eu la dimension (...)
© Turquie Européenne pour la traduction
L’un des plus importants représentants de l’école positiviste française, Emile Durkheim, considérait l’appareil d’état comme le cerveau de l’organisme social et recoupait par là la thèse hégélienne selon laquelle l’Etat correspond à l’intelligence de la société. Pays des Lumières, du rationalisme et du positivisme, la France donne ces derniers temps l’impression d’avoir perdu ses compétences intellectuelles comme son intelligence collective, un peu à la façon d’une (...)
Source : 7sur7.be
Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a refusé lundi d’imposer à la Turquie de reconnaître le génocide arménien avant son éventuelle adhésion à l’Union européenne.
« Ce genre d’examen doit être volontaire. Il ne peut être imposé », a jugé lundi le patron de l’exécutif européen. « On ne doit pas poser cela comme une condition supplémentaire », a insisté José Manuel Barroso en soulignant la « difficulté » et le « temps » nécessaire à la conduite de ce genre de débat. « (...)
Observatoire du communautarisme - 10/09/2006
http://www.communautarisme.net
Le 12 avril 2006, le Parti Socialiste a déposé une proposition de loi visant à créer un délit pénal concernant la négation du génocide arménien. Cette nouvelle proposition qui a pour but d’encadrer les discours relatifs aux événements historiques s’inscrit dans un contexte polémique sur le principe des lois mémorielles, et est survenu peu de temps après le débat sur « le rôle positif de la colonisation ».
Simple hasard de (...)
Turquie Européenne publie à nouveau ce texte, revu et augmenté qui a été écrit à destination des parlementaires afin que si le texte de loi sur « la pénalisation de la négation du génocide arménien » devait à nouveau être présenté, ils votent en toute connaissance de cause.
En l’occurence qu’ils ne puissent pas dire qu’ils n’ont pas été informés de la partialité dans laquelle le dossier a été traité par les rapporteurs et commissions qui ont eu a se saisir du sujet. Mais également qu’ils ne prétendent pas qu’ils (...)
Discussions about European identity and the accession of Turkey to the EU are frequently based on selected traits of historical and/or ideological developments. And so it is with respect to the precarious self-definition of Turkey as a nation-state, too. But both may be based on material grounds as well, which in turn may shift the arrangement of ideas about the meaning of specific historical events. Hans-Peter Geissen offers to TE’s readers a very specific reflection on the course of the (...)
Discussions about European identity and the accession of Turkey to the EU are frequently based on selected traits of historical and/or ideological developments. And so it is with respect to the precarious self-definition of Turkey as a nation-state, too. But both may be based on material grounds as well, which in turn may shift the arrangement of ideas about the meaning of specific historical events. Hans-Peter Geissen offers to TE’s readers a very specific reflection on the course of the (...)
Source : Le Monde.fr, le 29/06/2006
Qui le sait ? La Turquie a reconnu le génocide des Arméniens de 1915. En juin 1919, lors de la Conférence de la paix à Paris, Damad Ferid Pacha, premier ministre turc, déclare : « Presque tout le monde civilisé s’est ému au récit des crimes que les Turcs auraient commis. Loin de moi la pensée de travestir ces forfaits (...). Je chercherai encore moins à atténuer le degré de culpabilité des auteurs du grand drame. »
Des mots qui brûlent encore la langue de ses (...)
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