Le Monde - 01/09/2005
L’assouplissement de la position française, qui ne devrait pas mettre son veto à l’ouverture des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, devrait mettre un peu de baume au coeur des Turcs dont l’enthousiasme pro-européen, déjà en déclin, a encore pâti des nouvelles rebuffades de Paris. Il n’y avait plus guère que les membres du gouvernement qui continuaient à faire comme si de rien n’était, réaffirmant, à l’instar du ministre des affaires étrangères, Abdullah Gül, (...)
Marillac - Avrazya pour la traduction _ © Radikal - 31 août 2005 L’article sur Avrazya
Diplomate de carrière et conservateur kémaliste dans l’âme, opposé au plan Annan de réunification chypriote, Gündüz Aktan est un excellent connaisseur de la question. Petite et éclairante remise en perspective.
Notre politique concernant Chypre et l’UE comme celle relative à la reprise du terrorisme du PKK( Parti des Travailleurs du Kurdistan) donnent l’impression d’une politique de faiblesse. Tenir le (...)
AFP - 31/08/2005
L’Allemagne « maintient inchangée » sa position favorable à l’ouverture de négociations le 3 octobre entre l’Union européenne et la Turquie, qui a fait l’objet d’une décision « adoptée par tous les 25 » pays européens, a rappelé mercredi le gouvernement allemand.
Lors de son point presse régulier, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Walter Lindner a rappelé que ces négociations « ne comportent en aucun cas de garantie ou d’automatisme » quant à une adhésion quand elles seront (...)
L’Express - 31/08/2005
L’Union européenne a indiqué mercredi qu’elle allait répliquer au refus de la Turquie de reconnaître Chypre, pays membre de l’UE, et Nicosie a menacé de s’opposer à l’ouverture des pourparlers d’adhésion d’Ankara à l’Union si la réponse de Bruxelles ne le satisfait pas.
« La plupart des Etats membres sont convenus avec la présidence de la nécessité d’une contre-déclaration », a déclaré un porte-parole de la présidence britannique de l’UE après une réunion des ambassadeurs du bloc sur la (...)
Le Figaro
Largement médiatisées, les hésitations de certains des dirigeants européens à amorcer les négociations d’adhésion avec la Turquie le 3 octobre - comme il en a été convenu l’année passée - suscitent une déception croissante au sein du peuple turc. Une partie de l’opinion publique turque a toujours été convaincue que son pays ne serait jamais accepté au sein de l’Europe, et qu’à chaque fois que l’adhésion se profilerait, sa réalisation serait entravée par l’apparition de nouveaux obstacles. Certains (...)
LE MONDE 31/08/2005 - 12h16
Mis à jour le 31/08/2005 - 12h45
BRUXELLES de notre bureau européen
Premier gros dossier de la rentrée pour l’Union européenne (UE), l’adhésion de la Turquie divise les Etats membres, à commencer par la Grande-Bretagne, qui la soutient, et la France, qui exprime de fortes réserves. L’ouverture des négociations est prévue pour le 3 octobre, mais les Vingt-Cinq doivent encore en définir les modalités. Les ministres des affaires étrangères se réunissent les jeudi 1er et (...)
LE MONDE 31/08/2005 - 12h46
Pourquoi l’Union européenne, par la voix de ses chefs d’Etat et de gouvernement réunis en Conseil européen, a-t-elle pris, en décembre 2004, la décision d’ouvrir les négociations d’adhésion avec la Turquie ? Pour la même raison qu’elle envisagea cette perspective il y plus de quarante ans, lorsqu’elle signa l’accord d’association avec ce pays.
L’Europe a besoin à ses côtés d’une Turquie stable, démocratique, prospère et en paix avec ses voisins, qui respecte nos valeurs, nos (...)
Le Figaro - 31/08/2005
Les relations entre la France et la Turquie, qui avaient atteint une sorte d’apogée l’année dernière, lorsque la Turquie pensait avoir obtenu une date ferme pour l’ouverture de ses négociations avec l’Union européenne, sont en passe de se dégrader brutalement. La France, en effet, a décidé de se faire l’avocate de la cause chypriote-grecque en assumant le risque d’un blocage de la négociation avec la Turquie. Il faut, pour expliquer cette situation inédite, commencer par la cause (...)
L’Express - 30/08/2005
Aucun membre de l’Union européenne n’a proposé de différer l’ouverture des pourparlers d’adhésion prévus avec la Turquie, fait savoir le président de la Commission européenne Manuel José Barroso.
« Jusqu’ici, aucun pays ne m’a indiqué qu’il souhaitait reporter le début des pourparlers (3 octobre) », a déclaré Barroso au quotidien polonais Gazeta Wyborcza.
« La Commission européenne a préparé un programme de négociations avec la Turquie. Il appartient aux pays de l’UE de décider (de le (...)
TF1.fr LCI - BREVES MONDE - 29 août 2005
Le commissaire européen à l’Elargissement, Olli Rehn, a estimé dans un entretien au quotidien Helsingin Sanomat que la Turquie a rempli les principales conditions posées pour l’ouverture de négociations d’adhésion à l’Union européenneen octobre. Selon lui, rien ne s’oppose au lancement du processus après les réformes du code pénal et la signature d’un accord étendant l’union douanière UE-Turquie aux dix nouveaux pays de l’UE, dont la République de (...)
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