Libération - 18/02/2006
Un voyage en Turquie pour mieux comprendre les familles de cette origine ? Le centre social Papin du quartier Franklin a tenté. Avec succès.
Mulhouse envoyée spéciale- L’an dernier, Semiha Sipahi a emmené en Turquie des mères de famille turques, des travailleurs sociaux, des adolescents. Et ce n’était pas du tourisme. La note d’intention du projet posait : « La démarche vise à une connaissance approfondie de l’histoire, des origines, des us et usages de nos habitants, nos (...)
AFP
PARIS, 9 fév 2006 (AFP) -
Le projet de loi sur l’immigration, présenté jeudi par Nicolas Sarkozy au Comité interministériel sur le contrôle de l’immigration (Cici), vise à privilégier une immigration « choisie » et non plus « subie », et instaure un durcissement des règles d’entrée et de séjour des étrangers.
Pour contrer la tendance actuelle (seulement 5% des immigrés réguliers sont des immigrés « économiques »), le projet durcit les conditions d’entrée des migrants non qualifiés, notamment au nom du (...)
LEMONDE.FR 15/12/2005 - 18h07
Cinq pays ont mené la plus vaste opération de police jamais organisée en commun contre l’immigration illégale en Europe, mardi 13 et mercredi 14 décembre. Menée par la France, la Grande-Bretagne, la Grèce, l’Italie et la Turquie, cette opération a permis l’arrestation de 53 dirigeants ou animateurs présumés de cette filière qui acheminait depuis des années des milliers de clandestins notamment vers Calais, où des passeurs assuraient le transit vers l’Angleterre. « Le (...)
AFP, PARIS, 6 oct 2005
Le ministère de l’Intérieur planche sur une loi qui répondrait au voeu de Nicolas Sarkozy de remplacer l’immigration que, selon lui, la France « subit », par une autre qu’il veut « choisie ».
« La lutte contre l’immigration subie et la promotion de l’immigration choisie sont des priorités de l’action du ministre d’Etat », explique Claude Guéant, le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, en préambule d’une note du 23 septembre révélée jeudi par Libération. Les collaborateurs du (...)
Liberation - vendredi 23 septembre 2005
Dans le G5, c’est à qui organisera son « premier » charter d’immigrés. Hier, le ministère de l’Intérieur espagnol s’est vanté dans un communiqué d’être à son tour à l’origine d’un vol groupé d’expulsion d’immigrants : l’avion parti de Madrid et à destination de Bucarest a fait escale à Paris et Rome pour embarquer son lot de Roumains en situation irrégulière. Ils étaient au final 125 à être rapatriés de force. Le gouvernement Villepin ne peut plus, lui, jouer sur l’effet (...)
AFP.22/09/2005
La situation des immigrés en France a connu une amélioration depuis le début des années 1980, notamment en termes d’éducation, et de catégorie d’emploi, mais ils restent deux fois plus vulnérables au chômage et continuent à faire partie des plus défavorisés, selon une étude de l’Insee.
« On voit une tendance à la réduction des écarts entre les immigrés et le reste de la population même si l’image est très contrastée notamment selon la provenance géographique », a indiqué à l’AFP Chloé Tavan, (...)
Le Monde - 17/05/2005
C’est un sujet majeur en Europe, et pourtant l’immigration est passée au second plan de la campagne référendaire française... Turquie exceptée. Car c’est bien, au fond, l’adhésion éventuelle d’Ankara qui fait aujourd’hui en France figure de substitut au débat sur l’immigration en général.
Opposé à l’entrée de la Turquie dans l’UE parce que, dit-il, l’« l’Europe ne peut pas accueillir tous les pays du monde » , Nicolas Sarkozy, président de l’UMP, soutient cependant que le traité (...)
AP - 13/05/2005 - 17:07
PARIS (AP) — La Constitution européenne donne-t-elle à l’Union les moyens de contrôler l’immigration ou ouvre-t-elle la porte à une « déferlante » d’immigrés venus du Sud et de l’Est ? Sur ce sujet très sensible en France comme chez ses voisins, les opinions sont particulièrement tranchées.
A bien des égards, la Constitution innove en matière d’immigration. Ce domaine d’action n’est certes pas nouveau pour l’Union européenne. L’afflux de clandestins cherchant à entrer dans « (...)
L’Express du 29/11/2004
L’hostilité à l’entrée de son pays d’origine dans l’Europe déçoit cette communauté solidement installée dans l’Hexagone. Elle balance entre le repli identitaire et une intégration qui, chez les jeunes, commence à faire évoluer les mentalités
Deniz Yilmaz ne comprend plus ses concitoyens français. Née de parents turcs, cette jeune femme de 32 ans, assistante juridique à Paris, a du mal à croire les sondages. A croire que 75% des Français, selon l’Ifop, s’opposent à l’adhésion de la (...)
Le Monde - 15/10/2004
Enquête de José-Alain Fralon
Figés dans leur désir de ne rien perdre de leur culture, les 400 000 Turcs de France ne se sont pas tous adaptés au mode de vie moderne. Pourtant ils souhaitent l’adhésion de leur pays d’origine à l’UE.
Muharrem Koç est partagé. Ce travailleur social de 36 ans, dont vingt et un passés en France, s’il se réjouit de sa toute récente naturalisation française, s’inquiète tout autant de la teneur du débat sur l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. « (...)