Dernier ajout : 29 novembre 2012.
Sous couvert de lutte contre les Kurdes, l’État turc assimile toute opinion contestataire à du terrorisme. Un durcissement du régime qui envoie un nombre croissant d’étudiants et de journalistes en prison.
« Le fait de manifester nous emmène en prison. Le fait d’assister à un concert gratuit et légal nous emmène en prison. Le fait de se rassembler pour le 1er Mai nous emmène en prison (…) Quand je regarde la Turquie, je ne vois aucune démocratie ». En octobre, Sevil Sevimli nous confiait son amertume et (...)