STRASBOURG (Reuters) - La Turquie, qui a pris mercredi la présidence du Comité des ministres du Conseil de l’Europe, veut imprimer sa marque à l’organisation, au moment où ses négociations d’adhésion à l’UE semblent marquer le pas.
Ankara, membre fondateur de l’institution de Strasbourg mais aussi l’un de ses mauvais élèves en matière de droits de l’homme, veut montrer son engagement vis-à-vis des valeurs européennes et sa capacité à les faire progresser.
« Nous allons montrer ce dont nous sommes capables (...)
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